dimanche, avril 19

N'importe quoi dans ma tête, mes profils (enfin 1)

Voilà.

Je soigne aux petits oignons mon profil LinkedIn.
Je le bichonne, je le travaille, je m'occupe de lui.

Et Viadeo.
Bien, Viadeo, il reste dans son coin.
Je ne le mets pas à jour. Je ne le soigne pas.

Faudrait que je fasse quelque chose.
Soit le fermer définitivement.
Soit l'animer.

Oh dilemme.

vendredi, avril 17

Mamma said...

Life is like a box of chocolates... You never know what you gonna get.

(In Forrest Gump, 1994)

mercredi, avril 15

Urban myth...

What a great Idea...

Outside the England´s Bristol Zoo there is a parking area for 150 cars and 8 buses.
For 25 years, a very nice clerk was in charge of collecting the parking fees, corresponding to US$1.40 for cars and US$7.00 for buses.

One day, after 25 solid years of work every single day, he simply didn’t appear. Zoo Administration, then, called City Hall and asked for a new clerk. City Hall answered that the Zoo parking lot was Zoo responsibility.

Zoo Administration said the clerk was a City Hall employee.

City Hall said then that clerk was never in their payment roll.

Meanwhile, very well set on his beautiful house on Spain coast (or something like that), there is a guy who, apparently, installed the paying machine by himself and was there every day, collecting the parking fees, evaluated around US$560 a day… for 23 years!!

Considering he used to work 7 days a week, he got around US$7 million. And nobody knows even his name… Urban legend?

Urban legend? Maybe.

lundi, avril 13

Oh-la-la! Je suis émue!

Coucou à ceux qui passent ici depuis des liens ajoutés dans un certain intranet....

Je suis sous pression!

Je me disais qu'il fallait que je reprenne la publication, genre, il faut se motiver, et je remettais au lendemain ce que je pouvais faire maintenant.

Bon, me voilà en train de relancer la machine!


Le Pont des Arts #nolovelocks

Je suis partisane du No Love Locks.

L'amour ne doit pas être enchaîné, il est libre. On est libre d'être avec quelqu'un, de le quitter si l'on souhaite. On est libre de nos mouvements, on est libre de montrer tout notre amour pour la personne
aimée. On est libre de l'aimer.

Les cadenas n'ont rien a avoir avec l'amour,

Et en plus c'est moche.

Certains pourraient dire que c'est mignon, tous ces cadenas dorés au soleil.

Oui et non. Trouvons un autre doré.

Je me souviens au siècle dernier il y a beep années nous faisions des pique-nique sur le Pont des Arts. On venait avec notre casse croute, notre boisson, on s'installait par terre, dos contre les grillage. On regardait les bâtiments en bord de Seine. On y passait presque ma nuit.

Aujourd'hui impossible. Essayez d'appuyer votre dos à une masse de cadenas.

Et le Pont. Il n'est plus le même!
Le Pont des Arts actuel date de 1984, mais une passerelle et un pont existent à cet endroit depuis 1801.  Il ne les fait pas, non?

Il a toujours vécu là, tranquille, mimille.

Et vlam! On lui met des tonnes sur les dos. 40 tonnes selon les estimations. En plus sur le "dos du pont. Et n'oublions pas les nombreuses clés jetées dans la Seine.
Il y a quelque temps je traversais le Pont et je me disais qu'un jour on pourrait tous tomber dans la Seine. Il paraît que le Pont peut supporter la charge. Mais ce n'est pas une raison pour l'enlaidir.

Arrêtez les cadenas!

(Et voilà que je vais attirer les foudres des défenseurs des cadenas, non?)

Laissez vivre les  ponts et autres monuments parisiens et dans le reste du monde!

Allez les villes, mettez a disposition un mur que l'on puisse tagger/dessiner notre amour. Quitte à le peindre en blanc une fois par an. Non pas que l'amour s'efface. Mais il se renouvelle, il est vivant, il se transforme, il mûri.

Pour savoir plus sur No Love Locks c'est ici.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_des_Arts#/media/File:Seine_River_and_Bridge.jpg
Wikipedia (cliquer sur l'image pour l'agrandir)

mercredi, avril 1

Du #streetart

Que l'on aime bien!

OakOak, un street-artiste français, qui crée des images, sujets, evenements, installations, chacun trouve son appellation, a partir de ce qu'il,voit dans la rue.

Sublimissime.

J'a-d-o-r-e.